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Déroulé de la formation

SupOptique, une formation d’ingénieur·e-physicien·ne en 3 ans

Aux cours de leur cursus à SupOptique, les élèves suivent une des meilleures formations aux sciences de la lumière et à toutes les facettes du métier d’ingénieur. Plus que la maîtrise des concepts et techniques liés à la lumière, l’ingénieur·e SupOpticien·ne associe des compétences fortes de management de projet à un haut niveau d’expertise dans ce domaine scientifique et technologique où le savoir-faire français est reconnu à travers le monde.
Le syllabus complet de la formation est accessible sur ce lien.

Les débouchés concernent l’industrie ou les grands organismes de recherche, dans les secteurs très dynamiques de la Photonique : Aérospatial, Défense, Lasers, Automobile, Éclairage, Médical, Télécommunications ou Développement Durable. En début de carrière, les ingénieur·es SupOpticien·nes occupent des fonctions liées à l’innovation et à la R&D. Les dernières enquêtes ont montré qu’ils déposent 4 fois plus de brevets que la moyenne des ingénieurs français. Après une dizaine d'années de carrière, les ingénieur·es SupOpticien·nes sont chef·fes de projet, manageur·ses, chef·fes de produit…

Vue générale de la formation d'ingénieur

SupOptique, pour se former aux sciences de la lumière

Au cours de votre scolarité, vous aurez plusieurs possibilités de parcours, vous pourrez :

  • plonger dans les réalités virtuelles et augmentées en couplant une compétence instrumentale avec une compétence informatique/numérique, unique dans le paysage high tech (fort intérêt de Thalès, Safran, Nokia, Apple, Airbus) ;
  • ... dans l’étude de systèmes d’imagerie, du traitement d’image et de l’apparence des objets vous confrontera aux problématiques actuelles de nombreux industriels (Lumibird, Essilor, PSA, Renault, Biomérieux…) ;
  • opter pour une orientation plus forte vers la physique (interaction lumière-matière et nanosciences).

Vous pourrez aussi opter pour un double-diplôme (HEC, ESPCI, Biomédical IFSBM ou en Masters Recherche avec les Universités de Paris-Saclay, Bordeaux ou Saint-Etienne) ou pour un semestre à l’international dans une des Universités partenaires (Jena en Allemagne, KTH en Suède, EPFL en Suisse, etc).

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Première année de la formation d'ingénieur·e

Une première année riche en événements !

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